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NB : Cet article est un repost d’une de nos newsletter La ChroniK EnerGIVrée datée de 2021.

Cet article est la troisième partie d’un texte sur la parentalité à l’ère de l’écologie ou comment essayer de réduire notre empreinte environnementale en tant que parents de jeunes enfants. 
– Pour la première partie, venez par ici
– Pour lire la deuxième partie, c’est par ici
– Pour lire la quatrième et dernière partie c’est par là que ça se passe
Maintenant let’s go !

Comment concilier parentalité et écologie ?
Suite des 10 commandements 

3. Aux lingettes jetables tu renonceras
Mais pourquoi tant de haine ???? Parce que !
Ça (= tout type de lingettes, ie. pour enfant, démaquillage, déodorant, ongles, entretien de la maison, machine à laver, nettoyage des animaux…*) envahit nos poubelles à hauteur de 23 kg par an, ça ne se recycle pas et ça bouche les canalisations. Petite illustration :

Mais c’est bien pratique quand même… Oui mais.
Jusqu’à leur invention dans les années 2000 les bébés n’en étaient pas moins propres. Avant, on utilisait probablement moins de mitosyl et autres crèmes censées lutter contre le phénomène des fesses rouges (regardez la composition ICI, et ne manquez pas la liste des excipients).
Si déjà on commençait par leur mettre un peu moins de produits chimiques sur lesdites fesses, ça irait sûrement mieux.

Rien ne vaut un bon lavage à l’eau, suivi d’une application de liniment oléocalcaire (acheté en grand format, bio lui aussi ou fait maison, encore mieux). Pour laver, on utilise soit des cotons (pas top pour la planète c’est vrai), soit un gant, soit des lingettes mais lavables.
Et au passage : gling gling gling économies.

4. Pour le reste du corps de bébé, des produits cosmétiques et d’hygiène bio tu appliqueras
On en trouve en pharmacie et dans les magasins bio. Les marques les plus courantes :  Weleda, Catier, Lavera, Douce nature, Fleurance, Jonzac, Miel de Manouka, Dermaclay, Natessance, Coslys…

Vous allez voir que les rendez-vous pédiatre et dermato vont se faire moins fréquents.

5 – Des petits plats maison tu lui mitonneras 
Purées, soupes, compotes…et de saison s’il vous plait ! 

Pourquoi s’embarquer dans cette aventure ?
 – D’abord on développe son goût de manière simple, un ingrédient à la fois.
 – Ensuite c’est sympa de lui préparer de bons petits plats.
 – Et moins cher.
Pour finir de vous convaincre, je vous garantis que vous préférerez qu’ils vous crachent à la figure la purée de brocolis maison que le petit pot poireaux pommes de terre qui sent les plateaux-repas d’hôpital.

Mais les petits pots tout prêts, on ne va pas se mentir, ça rend quand même service. On les choisit bio bien sûr, dans des pots en verre.

 

6 – Aux Pom Potes’ et autres gourdes à boire bye-bye tu diras
La Pom Pote’ c’est l’ami des parents et des enfants, et même des grands enfants devenus adultes dis donc !  
Par contre c’est l’ennemi du Zéro Déchet. Pour 90 grammes de compote consommée, c’est 10 grammes de déchets générés. 

On opte pour des gourdes SQUIZ à la place qui se re-remplissent et on stocke dans ses placards des pots de 1kg de compote bio. 6€ la gourde de 130ml, achat en magasin bio ou sur internet. 

C’est évidemment meilleur pour la santé et plus économique.
ET le niveau de satisfaction de l’enfant est intact, ouf !

* : La puissance du marketing est infinie 🙂