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Cet article est la deuxième partie des voeux de bonne année 2019, l’occasion de faire le point sur l’action citoyenne. 
Pour lire la première partie c’est ici
Maintenant, let’s go.

Ca bouge aussi sur le front citoyen !
(C’est la partie solutions pratiques)

 

  • Vous avez toutes et tous signé la pétition l’Affaire du Siècle ? Quoi, pas encore ? Session de rattrapage incognito ICI.
    4 ONG soutenues par près de 2 millions de citoyens français attaquent l’Etat français en justice pour inaction en faveur du changement climatique.
    Cela a déjà été fait aux Pays-Bas (les citoyens ont eu gain de cause en Octobre dernier), en Colombie, au Pakistan…
  • Vous n’avez pas le moral en ce début d’année et envie de baisser les bras face à l’immensité du problème ?
    Prenez 1h10 pour regarder le nouveau documentaire de Cyril Dion, « Après Demain » (cliquez ICI pour lancer la vidéo). On y voit des projets fleurir sur nos territoires, ça donne la pêche et des idées pour se lancer dans sa commune, son arrondissement.
  • 1er geste de ce début d’année : on ne laisse pas son sapin sur les trottoirs parisiens comme on peut en voir des dizaines en ce moment. On l’apporte dans l’un des 174 points de collecte de la capitale, ouverts jusque fin janvier. La carte ICI, et le site de la mairie de Paris ICI. Le broyat de sapin sera utilisé pour pailler les sols en hiver. Ah ah, on ne le savait pas ça ! Evidemment, on peut aussi décider de ne plus acheter de sapin et entamer dès maintenant la création de son prochain arbre de Noël (inspirations ICI pour les artistes en herbe).
  • On passe un peu moins de temps sur Netflix et un peu plus sur IMAGO TV, la nouvelle plateforme vidéo gratuite qui rassemble des contenus sur l’environnement et la transition écologique.
  • Sujet « touchy » : on suit l’initiative « lundi vert » (applicable à n’importe quel jour de la semaine évidemment) : on s’engage un jour par semaine à se passer de protéines animales (viande, produits laitiers, poissons). C’est faisable, vraiment. La planète vous dira merci et votre santé aussi. L’élevage a un coût environnemental très très élevé (consommation d’eau, tension sur les surfaces agricoles, importation de nourriture pour les animaux, fortes émissions de gaz à effet de serre, sans parler de la consommation d’antibiotiques), je vous en reparlerai dans une prochaine newsletter. Il ne s’agit pas de tous devenir végétariens mais d’avoir une consommation raisonnée et raisonnable de protéines animales.
    On touche un sujet sensible, des dents vont grincer, je sais 🙂 Aussi, je m’éclipse et vous laisse réfléchir.

Ça bouge donc, mais on est loin d’être sortis de l’auberge.
En 2019 on ACCELERE ! Je vous parlerai bientôt de la parentalité écolo et de l’impact du digital sur l’environnement.

D’ici là, je vous souhaite une belle rentrée.

Baisers frangipanés,
Mathilde